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Vous trouverez peut-être ici, les réponses aux questions que vous vous posez…

Questions Populaires

Hypnose Hunkaar

Oui, tout le monde peut se faire hypnotiser. Il n’y a aucune contre-indication à l’état d’hypnose. Cependant en cas de troubles psychologiques diagnostiqués, il est préférable de demander l’avis de votre professionnel de santé afin de ne pas contrarier sa stratégie thérapeutique. De plus certaines substances (médicaments, alcool, …) peuvent fortement restreindre la réceptivité.

Oui… et non. Une partie de la population est dite “très réceptive”, une petite autre “peu réceptive” et le reste oscille entre les deux. Votre réceptivité varie en fonction de vos prédispositions, mais aussi de votre désir de participer, des croyances et des résistances, conscientes ou inconscientes, que vous avez, du moment dans votre vie et surtout de la confiance que vous avez en la relation hypnotiseur-hypnotisé. Cette réceptivité peut donc varier au cours de votre vie, de votre journée et même de votre séance… Notez que certaines substances (médicaments, alcool, …) peuvent fortement contrarier la réceptivité.

Cette méthode peut être efficace dans tous les cas. Ou plutôt dans tous les cas ou un facteur psychique entre en jeu. Soit comme cause d’un problème, soit comme façon d’en percevoir un. Addictions, troubles du sommeil, stress, angoisses, phobies, TOC, image de soi, gestion des émotions, deuils, troubles alimentaires, douleurs… Cette méthode vous aide à vous sentir mieux en général.  Quelle est la part du psychique, du physique ou du physiologique ? Difficile à évaluer… La meilleure méthode, je pense, est de demander. Pour la douleur chronique par exemple, une blessure physique entraine un nouvel état physiologique douloureux. Mais lorsque la blessure est réparée, que l’inflammation s’est résorbée, pourquoi reste-t-il la douleur ? La réponse des inconscients est que bien souvent, c’est émotionnel. Dans ce cas, hunkaar permet de se mettre en contact avec cette émotion.

À tous. Cependant, donner la parole à l’inconscient nécessite un psychisme déjà bien en place pour ne pas perturber sa construction. Pour cela, la méthode sera utiliser chez l’adolescent comme pour l’adulte à condition que les parents adhèrent à la méthode et accompagnent leur enfant dans cette démarche. Pour l’enfant, les limites entre conscient, inconscient et imaginaire étant moins bien définies, la stratégie peut être identique, mais la mise en place sera beaucoup moins profonde afin de ne pas perturber le monde qu’il commence à intégrer. (Je me tiens à disposition pour toutes questions, et me réserve le droit de renoncer à une demande de prise en charge).

Dans tous les cas, je ne suis pas médecin, ne pose aucun diagnostique ni aucune prescription.  Vous pouvez demander conseil au personnel médical qui vous suit. Il se peut que je vous demande moi-même son avis.

Non, si ce n’est celui de vous sentir mieux… Mais vous pouvez demander conseil à votre médecin, l’essentiel est que vous soyez en confiance dans votre démarche.

Non. Aussi vrai qu’un fou rire fini par s’arrêter ou qu’un sommeil fini par un réveil, il est impossible de rester bloqué.

L’hypnose thérapeutique est souvent associée à de longues inductions (mises en état d’hypnose) qui détendent… apaisent… et parfois endorment. J’utilise une induction qui se construit au fur et à mesure des sollicitations de l’inconscient. Vous allez donc participer. Même si la dissociation s’accentue au cours de la séance et que vous laisserez peut-être la place à d’autres parts de vous, peu de chance pour que vous dormiez…

Contrairement à d’autres méthodes d’hypnose, la méthode Hunkaar n’est pas forcément une thérapie brève. Tout dépendra des raisons en jeu dans vos problématiques et de la facilité à y accéder. Même s’il arrive que tout puisse se faire dans la première séance, j’en recommande au moins trois afin de rassurer les inconscients qui peuvent être déstabilisés par le fait que nous nous intéressions à eux. Ensuite, il est possible que comme pour moi et bien d’autre, cette expérience change votre relation avec vous-même et que vous vouliez aller plus loin…

Encore une différence avec d’autres formes d’hypnose, il n’y a pas de délai à observer entre les séances. L’objectif est de faire “grandir” des parties de vous qui n’ont pas forcément droit de cité habituellement, et ce, en communiquant avec elles. Ainsi plus nous communiquons, plus elles “grandissent” et peuvent intervenir sur votre problématique. Sauf grand changement intérieur ou demande de l’inconscient, les séances peuvent s’enchainer, surtout au commencement. Quand les portes s’ouvrent, il est inutile de les laisser se refermer.

Je travaille sur les émotions et la libération de certaines. Pour cela, vous avez besoin de lever les blocages conscients que vous avez habituellement. La présence d’un père, d’une mère, d’un frère d’un mari pourrait complètement bloquer ce travail si l’inconscient voulait présenter quelque chose en lien avec eux. De plus, j’encourage votre inconscient à vous faire vivre pleinement ces émotions, ce qui peut ne pas laisser indifférent votre accompagnateur soit par empathie pour vous, soit parce que ce que vous exprimez résonne avec ses propres blessures. Pour cela, sauf raisons exceptionnelles dont nous pouvons discuter, il est préférable que l’entretien soit fait entre vous et moi seulement.

Relaxation coréenne

Une tenue légère et souple, genre survêtement, est idéale. Sinon, on s’adapte. En aucun cas vous n’aurait à vous déshabiller, juste, vous mettre à l’aise.

La relaxation coréenne est aussi appelée “le massage coréen” mais il correspond peu à la définition que nous nous en faisons habituellement. Pas réellement de palpation, de peau à peau. La relaxation coréenne est constituée essentiellement de saisies et de mobilisations. Elle ne laisse que peu de place aux ambigüités ce qui en fait un “massage” très prisé des adolescents et adolescentes plus pudiques.

Non. Le but de cette méthode n’est pas de vous secouer… Il est de créer des ondes qui se propagent dans le corps et de les laisser se diffuser au fil de la détente. Elle n’impose aucune contrainte articulaire et je m’adapte à tous les corps, chacun avec ses propres besoins. Pour cela je vous demande de me faire part d’éventuelles douleurs qui pourraient vous déranger.

Pas vraiment. Il est possible d’épargner un membre douloureux, ou au contraire se concentrer dessus. Cette relaxation peut induire des états modifiés de conscience où les perceptions sont différentes. La douleur peut donc être vécue autrement. Cependant, j’éviterai rigoureusement les zones récemment traumatisées ou encore inflammées.

D’abord, une profonde détente. Ensuite, la relaxation coréenne propose des mobilisations inhabituelles. Ce sont elles qui créent un chamboulement dans les perceptions et qui peuvent induire des transes et des voyages intérieurs. Il n’est pas rare de libérer une émotion que les ondulations ont permis de débloquer. 

Les adultes plongent dans une détente absolue, les ados se laissent porter en oubliant un moment leurs pudeurs, les enfants se laissent surprendre dans le jeu. Même les plus actifs des enfants se laissent régulièrement saisir par cette pratique. Présentée comme un jeu, ils observent les effets bénéfiques de la séance. Ils finissent par s’apaiser apprennent à percevoir autrement. Au final la relaxation coréenne améliore le calme et l’attention des enfants.

Carrément ! Pour les moins réceptifs à l’hypnose, la relaxation coréenne favorise le lâcher-prise, exactement ce qu’il nous faut pour une séance d’hypnose.

Non, la technique sera ajustée. Il est évident que les manipulations et les positions seront différentes. De plus, cette méthode étant basée sur la diffusion d’ondulations, le bébé profite lui aussi de ces sensations, bercé dans le liquide amniotique. En cas d’anomalie placentaire ou de terme proche, demandez conseil à votre médecin.

Street Hypnose

Oui, tout le monde peut se faire hypnotiser. Il n’y a aucune contre-indication à l’état d’hypnose. Cependant en cas de troubles psychologiques diagnostiqués, il est préférable de demander l’avis de votre professionnel de santé afin de ne pas contrarier sa stratégie thérapeutique. De plus certaines substances (médicaments, alcool, …) peuvent fortement restreindre la réceptivité.

Oui… et non. Une partie de la population est dite “très réceptive”, une petite autre “peu réceptive” et le reste oscille entre les deux. Votre réceptivité varie en fonction de vos prédispositions, mais aussi de votre désir de participer, des croyances et des résistances, conscientes ou inconscientes, que vous avez, du moment dans votre vie et surtout de la confiance que vous avez en la relation hypnotiseur-hypnotisé. Cette réceptivité peut donc varier au cours de votre vie, de votre journée et même de votre séance… Notez que certaines substances (médicaments, alcool, …) peuvent fortement contrarier la réceptivité.

Si vous êtes “bien parti”…. Absolument (presque) tout ce que vous voudrez faire…

Non. Aussi vrai qu’un fou rire fini par s’arrêter ou qu’un sommeil fini par un réveil, il est impossible de rester bloqué.

En street hypnose, l’induction, c’est le fameux “Dors !”. Bien que non indispensable aux phénomènes hypnotiques, elle est souvent demandée par les hypnotisés. Elle consiste en un plongeon à l’intérieur de soi. Chacun à sa façon de la vivre, mais bien sûr, vous ne dormez pas vraiment. Vous restez complètement libre d’aller plus profond ou de sortir de cet état. C’est une expérience à vivre… si vous le désirez.

Dans une séance de street hypnose “en public”, le but n’est pas de réussir coûte que coûte. Les raisons d’un manque de réceptivité peuvent être de nature à être travaillées en thérapie, ce qui n’est pas possible dans ce cadre. Alors en séance privée, il est toujours possible d’insister, mais en public, nous testons, nous construisons, mais nous ne forçons pas. Si ça ne fonctionne pas cette fois-ci, ça fonctionnera peut-être une autre fois surtout si vous voyez d’autres personnes sur qui ça ne marche, mais sur qui ça court…

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